Les souris d’Aarau
De 1932 à 1939 l’ingénieur Lienert et le docteur Jenny, de Sühr les Aarau, en Suisse, ont effectué une longue série de géobiologie expérimentale à l’ aide de souris blanches. Ils ont construit des caisses en bois longues de trois mètres, posées partie sur sol neutre et partie sur sol perturbé en raison de la présence d’une veine d’eau en dessous. En sont résultés les acquis suivants :
1/ Les souris faisaient leur nid en zone neutre. Et chaque fois que l’on tournait les cages de 180° les souris emmenaient leurs souriceaux en zone neutre.
2/ Chaque fois que l’on a forcé les souris à demeurer en zone perturbée, elles sont tombées rapidement malades, ont perdu du poids, et présentèrent après quelques mois des tumeurs en grand nombre en opposition avec les souris en bonne santé des lots témoins, libres de choisir leur gîte.
3/ Les souris furent badigeonnées avec des goudrons réputés cancérigènes.
Toutes celles placées en zone perturbée sont mortes de cancer, tandis qu’un faible pourcentage de celles placées en zone neutre furent atteintes de néos et carcinomes.
4/ Pendant les 12 années de prolongation de l’expérience après 1939, et sur les 24000 souris étudiées durant cette période, il fut établi que celles qui étaient placées en zone neutre étaient calmes et avaient trois fois plus de petits que celles placées en zone géopathogène, lesquelles étaient irritées, rongeaient le treillis de leurs cages, dévoraient leurs petits, et avaient 30 % de tumeurs en plus que les animaux témoins.
Cette derrière partie de l’expérimentation est en quelque sorte plus sûre que les premières, puisqu’elle évite cet incident qu’est l’effet de synchronicité. (Cet effet se caractérise en ce que, lorsqu’on a foi en quelque chose et qu’on est clair, on en suscite plus ou moins la venue expérimentale, au moins une fois. Exemple type : les calculs faux, mais « trusting », de Le Verrier lui ont permis de découvrir une planète vraie).
L’expérience de Vilsbiburg
Le baron Von Pohl était en 1929 fin connaisseur en radiesthésie ; c’était un chercheur qui a tenté avec succès, en utilisant la sensibilité subjective de l’organisme humain, d’établir des résultats objectifs quant à la question géopathogène. Lebaron Von Pohl proposa aux autorités de la ville de Vilsbiburg en 1929, dans un double but, expérimental probant et dépistage, d’établir à la baguette de coudrier, et sous contrôle serré, un zonage des parties salubres ou géopathogènes du sol urbain.
Ceci fut accepté et réalisé la même année, les indications qu’il donnait étant a mesure reportées sur le plan de la ville. Suite à cela les autorités firent indiquer sur le plan les emplacements exacts de chaque lit ayant fait usage à une personne atteinte de cancer.
Et l’on eut la stupeur prévisible de constater que tous les lits de cancéreux étaient sur zones géopathogènes. Ces zones furent attribuées par Von Pohl à l’agissement des conduites et cours d’eau souterrains impurs. Puis l’expérience fut objectivée à l’aide du scintillomètre à gamma.
La perturbation corrèle à la scintillométrie gamma
J.W.F. Staengle est un ingénieur spécialiste du scintillomètre. Cet appareil possède « un cœur » en cristal qui émet des éclats fluorescents lorsqu’il est irradié par du y, et ce, de façon proportionnelle à l’intensité irradiante. En comptant le nombre d’éclats de lumière par seconde, on connaît la valeur de la radioactivité locale ; une fenêtre d’entrée donne une direction.
Staengle a, certains le pensent, sélectionné son cristal fluorescent pour le rendre spécialement sensible à une bande très signalétique de la perturbation géopathogène. En Octobre 1972 il est allé à Vilsbiburg, et il a vérifié tout d’abord que la ville n’avait pas été trop chamboulée depuis 1929, ce qui est le cas.
Les conditions étant donc assez similaires à celles de l’époque Von Pohl, il a sélectionné neuf cas de « maisons à cancer » advenus depuis 1929. Les enregistrements graphiques du comptage des éclats fluorescents émis par le scintillomètre à montrent de manière frappante que cette radioactivité (signalétique) double à triple au-dessus des cours d’eau souterrains impurs (que donc tous les professionnels du scintillomètre savent repérer en profondeur et en débit), et aussi fait plus que doubler au-dessus des lits de cancéreux. Bien entendu, il a retrouvé exactement tout ce que le baron Von Pohl avait établi.
A ce point les rationalistes auraient parfaitement le droit de considérer que cette expérimentation est trop unique pour avoir une valeur probatoire communément acceptable. Si en d’autres villes, différents chercheurs obtenaient des résultats similaires, on se rapprocherait déjà beaucoup plus de l’objectivation scientifique. Et bien justement des résultats semblables ont été obtenus à Moulins (Allier, France), et cette fois non pas seulement par un chercheur, mais par plusieurs chercheurs équipés de matériels similaires, mais ayant opéré à des époques et dans un esprit différents.
Les travaux de Moulins
Nous avons vu au 3521, le Dr J. Picard se brancher sur la géobiologie, via la section suisse-romande représentée par « 1′Institut Européen de Recherches en Géobiologie » animé par Mme B. Mertz. Celle-ci, éminente géobiologiste-expert (travaillant du reste en méthodologie subjective), a examiné sur carte muette, sans aucun dossier médical ou autre, les zones d’ habitation de 42 malades gérés par le Dr J. Picard, à Moulins.
En travaillant sur la maille d’analyse la plus fine, qui conduit à la détermination du quadrillage Hartmann, ainsi que du facteur d’activité aux carrefours, elle a pu, à chaque fois retrouver la localisation corporelle de l’ affection dont souffraient les sujets. Ceci a été reporté sur graphique, pour chaque cas.
Puis J.W.F. Staëngle est venu à Moulins, avec son scintillomètre. Et, comme à Vilsbiburg, tous les relevés qu’il y a effectués corrèlent admirablement avec les indications de la géobiologiste.
Enfin le Prof. L. Massé, (de l’École Nationale de la Santé Publique de Rennes) est allé lui aussi à Moulins avec un scintillomètre à gamma, mais dans le cadre d’une démarche scientifique différente de celle de J.W.F. Staengle. En effet la démarche de son groupe de recherches (Ass. Villermé) aura consisté (au début) à examiner par l’ analyse statistique une éventuelle corrélation entre le taux d’ irradiation naturelle (la faible radioactivité naturelle), et l’incidence des cancers à l’estomac.
Ouvrons d’ailleurs une parenthèse à ce sujet : L. Massé a prospecté la Bretagne, à raison parfois de 30 villages par jour, pour y mesurer le taux moyen de radioactivité tellurique. Puis il a comparé les résultats de mesure avec les données géostatistiques de morbidité relative à l’incidence du cancer à l’estomac en Bretagne (de 1958 à 1966). Il a obtenu le fcrit que cette incidence corrèle effectivement avec le taux de gamma local moyen, avec doublement « exponentiel » dès que la radioactivité naturelle dépasse un seuil limite.
Le graphique ci-contre montre que ce seuil de danger avec la radioactivité naturelle est de 7 fois le taux de la moyenne nationale, qui est de 0,8 mRh (1) (Ce qui se compare avec la norme des TV couleurs : cette dernière est de 0,5 mRh aux USA).
Maintenant soyons précis : Le résultat objectif obtenu par L. Massé porte sur une maille d’analyse à l’échelle de la commune ; elle est la même que celle de G. Lakhovsky, et porte en gros sur le même sujet général de l’influence environnementale du sol sur l’incidence des cancers.
Qu’avons-nous appris ? Que d’une manière générale le facteur de risque de cancer (à l’estomac) double lorsque la radioactivité tellurique naturelle moyenne passe de 0,8 à 5,6 mRh ; à plus de 5 mRh, le risque augmente très fort, et de manière exponentielle. Enfin, les communications privées nous apprennent qu’il n’y a pas trop de risque local (cette fois à l’échelle de la maison, ou même à l’échelle métrique en dessous de 1,2 mRh.
Ce « sous-résultat » découle de l’analyse de l’ensemble des cas où l’équipe L. Massé a pu effectuer des mesures corrélatives à l’échelle de la maison, et même à l’échelle métrique.
C’est à cette échelle serrée que L. Massé a effectué des relevés de Moulins, reprenant avec entière confirmation les mesures de J.W.F. Staëngle. + savoir l’équivalent d’un doublement à triplement de la radioactivité dans les lieux exacts où plusieurs personnes sont décédées (ou ont été atteintes) d’une variété de cancers.
Les mesures que nous avons effectuées collectivement à Nantes dans un appartement situé dans un immeuble collectif « à cancer », montrent en effet que dans la zone du traversin du lit de l’ habitant la radioactivité atteint 1,95 mRh, ce qui représente 1,6 fois le taux de 1,2 mRh que l’on trouve dans le séjour. + partir de là, la perturbation géopathogène relevable au scintillomètre comprend deux facteurs :
Radioactivité gamma naturelle et zones géopathogènes
Nous pouvons différentier deux facteurs ou cofacteurs environnementaux carcinogènes :
D’une part l’accentuation des faibles doses permanentes d’irradiation radioactive (naturelle, ou même artificielle). Il est bien établi maintenant que le facteur de risque double en multipliant par 7 la moyenne nationale de 0,8 mRh, mesurée au scintillomètre. Ce facteur radioactif est aussi valable pour les failles telluriques fortement émettrices de radon.
D’autre part la façon dont le flux de neutrons telluriques émerge sous forme de micro-ondes. Dans ce cas, nous savons qu’il y a une bande dite biologique (favorable) autour de 2,85 gHz, et une bande dite secondaire (et défavorable) autour de 35 gHz.
Nous noterons enfin que sur sol granitique émetteur de y, il n’y a pas nécessairement de perturbation « micro-ondes naturelles », et que sur de tels sols, c’est bien la radioactivité elle-même qui est le facteur ou cofacteur d’ incidence des cancers.
ceci est recopié mot par mot sur un article très intéressant sur la géobiologie et je vous invite à le lire en intégralité en cliquant sur ce lien: http://www.drdesforges.com/smartsection+item.itemid+53.htm
il y a plusieurs choses à noter sur ces expériences.
l’importance d’avoir notre lit en dehors des zones pathogène étant donné le temps que nous y passons.
L’observation des animaux et des plantes est importante pour connaitre les zones dangereuses.
Animaux et plantes fuyant les nœuds pathogènes :
– chiens, chevaux, moutons, chèvres, vaches et cochons ;
- pommiers, poiriers, noyers, lilas, groseilliers, hêtres, tilleul.
Animaux et plantes tolérant voir cherchant les nœuds pathogènes :
– chats, fourmis, abeilles, insectes en général ;
– cerisiers, pruniers, abricotiers, pêchers, sapins, chênes.